13.11.10

Aldebert a 10 ans ;-)



Pour ses 10 ans de carrières, Aldebert a choisi de donner un concert un peu spécial en mêlant musiques et numéros de cirque. Il garde évidemment la même pêche qu'il y a 10 ans, sautillant sur la scène et nous transmettant sa joie et son dynamisme. La troupe du cirque plume participe aussi à mettre l'ambiance et à créer l'enchantement des petits et des grands présents dans la salle.

Les deux duos surprises que j'ai particulièrement appréciés : Bénabar et "Quand je serais grand" avec Maxime le Forestier.

Bref, génial mais en même temps avec Aldebert je n'ai jamais été déçue...

Pour un petit aperçu en images et en musique : le teaser du spectacle

 

18.9.10

PEACE ONE DAY

Hier soir, j'ai pu assister au concert de Peace One Day, au Zénith. C'était incroyable ! Bon Ok, ils avaient bien 3/4 d'heure de retard pour débuter la soirée mais l'attente valait la peine ;-)

Après une brève présentation de la soirée par les parrains de l'événement (Jude Law et Sharon Stone !!!) c'est Yodélice qui a ouvert le bal. Une vraie personnalité sur scène, des rythmes rocks et entrainants comme je les aime : bref, une belle découverte ! Ensuite Vanessa Paradis vient chanter quelques chansons assise à côté de son guitariste. Puis c'est au tour de Youssou Ndour d'enflammer la scène et le public. Tout le monde se lève et danse. Il communique son énergie et sa bonne humeur à toute la salle. Après l'entracte d'une vingtaine de minute, M débarque seul et joue "l'Africaine occidentale" ce qui fait une bonne transition avec la dernière chanson de Youssou Ndour en hommage à l'Afrique. Les morceaux s'enchainent sans que l'on s'ennuie une seule seconde et M est bientôt rejoint par Ayo, débordante d'énergie et d'envie de partager. Ensuite c'est à la célèbre Patti Smith d'investir la scène du Zénith. Elle joue bien sûr "Because the night". J'ai l'impression d'être téléportée à Woodstock ;-) Et pour finir la soirée en beauté, Charlie Winston vient chanter ses deux tubes les plus connus. Il termine le concert par une chanson spécialement composée pour Peace One Day, accompagné des choristes de la maitrise de paris...
En bref, une soirée mémorable et très agréable pour un petit prix (11 euros la place bradée à la dernière minute).

7.9.10

Match de boxe au Who's next

Ce week-end mon frère m'a emmené au Who's Next, le salon de la mode et du prêt-à-porter. J'ai pu me balader dans les allées et voir les différents stands. Entre celui de Kaporal (qu'on ne peut pas louper) et celui de Desigual, je me suis régalée.

Ensuite, j'ai assisté à l'apéro extérieur pendant lequel la marque "Marcel Cerdan Héritage" c'est distinguée. En effet, ils avaient installé un ring de boxe et des combats se sont déroulés sous nos yeux pendant la soirée. L'ambiance était très sympathique et l'opération marketing bien menée. J'ai beaucoup apprécié aussi le champagne et les tapas à volonté dans l'espace VIP !

6.5.10

Bobby Mc Ferrin

Lundi soir, je suis allée voir Bobby Mc Ferrin au théâtre du Chatelet où il a présenté son dernier album "Vocabularies". Il n'a pas joué "Don't Worry, Be Happy" et personnellement, cela ne m'a pas manqué car même si j'adore cette chanson, ce qu'il nous a proposé était complétement original et je n'avais jamais assisté à un concert comme ça...
Il entre seul sur scène, habillé simplement, et sans dire un mot commence un premier morceau. Les sons qui sortent de sa bouche, tantôt graves, tantôt aiguës forment des mélodies douces et inattendues. La salle est silencieuse et chacun l'écoute, presque religieusement. Puis l'ambiance se détend quand il entonne le générique de mission impossible, entrecoupé de vocalises classiques. Et ça devient vraiment la folie lorsqu'il propose aux gens de public de venir chanter puis danser avec lui. On assiste à des impros incroyables (je ne savais pas qu'il y avait autant de personnes douées dans la salle). Un enfant de 12 ans, coupe afro débarque sur la scène et Bobby entonne Billy Jean pendant que le gamin se déhanche... Il se dégage de cet homme une simplicité et une générosité incroyable. Même lui avoue que s'il est là, c'est pour s'amuser. J'ai pris une vraie leçon de vie et en sortant du concert, je comprend soudain mieux le sens de cette phrase "don't worry, be happy"

4.5.10

Nuit Tzigane à Paris

Vendredi soir, j'ai eu la chance de participer à l'annuelle "Nuit tzigane", sous le chapiteau de la famille Romanès, dans le 17e. Arrivés vers 20h30, nous découvrons le camp gitan en plein paris. Les caravanes sont disposées en cercle et entourent le chapiteau. A l'intérieur, l'ambiance est intime et familiale.
Le spectacle met un peu de temps à commencer, mais une fois que tout le monde est prêt il n'y a plus aucune interruption entre les numéros et tout s'enchaine au rythme de la musique.

Le spectacle commence avec les plus jeunes dans des numéros de cerceau et de jongleries, sous l'œil attendri et sévère d'Alexandre Romanès, le fondateur du cirque Tzigane à Paris. De minutes en minutes, le niveau de difficulté s'accroisse et les numéros originaux se succèdent. L'incroyable énergie du groupe entraîne les artistes et le public. J'ai mal aux mains à force d'applaudir, mais impossible d'arrêter... Je suis émerveillée par le numéro de funambule, Je retiens mon souffle lorsque la trapéziste lâche les mains et j'ai la gorge nouée quand Délia Romanès chante en direction du couple d'acrobates perchés en haut du chapiteau...

Après le spectacle, l'heure est au festin. Les Tziganes ont certainement cuisiné toute la journée pour nourrir les 400 personnes attendues pour cette soirée. Au menu ; salades, fromages, pain, choux farcis (excellent !) et bien sûr, côtelettes d'agneau et merguez cuites sur une grille, dans la cour du camp. La soirée ne s'arrête pas là et pendant qu'on mange, les danses et les numéros continuent. Chacun peut ensuite investir l'espace pour danser avec les gitans.















En résumé, une soirée exceptionnelle à faire au moins une fois quand on habite à Paris.
La vidéo des coulisses du spectacle c'est ICI
Tarifs : 25 euros pour le spectacle seul, 60 euros pour la nuit Tzigane avec dîner et boissons à volontés

7.2.10

Amour et chipolatas



















Une pièce de théâtre dont j'avais souvent entendu parlé mais que je n'avais pas encore eu le temps de voir... C'est maintenant chose faite !

Effectivement, on rigole beaucoup dans cette pièce de Jean-Luc Lemoine. Mon seul regret : la salle de la comédie Caumartin : 30 minutes de retard, attente dans le froid dehors pour finir assise sur des strapontins...

VRAAAOUUUUUUM !














Quand la bande dessinée se frotte à l'art contemporain cela donne une exposition exceptionnelle ! Les grands noms de la bande dessinée (Peyo, Frankin, Hergé, Uderzo, Walt Disney...) côtoient les artistes contemporains qui ont utilisé le 9e art dans leurs créations (Lavier, Gilles Barbier, Picasso...).
A découvrir jusqu'au 27 septembre 2009
http://www.lamaisonrouge.org/

27.1.10

Thomas Fersen à la cité de la musique



















Thomas Fersen donnait hier à la cité de la musique une représentation spéciale intitulée "mythologie" durant laquelle il a joué des titres inédits de son prochain album. Je ne l'avais jamais vu sur scène et la première impression en sortant du concert reste "ouah, ce mec est génial". Il sait tout faire ; il chante, il maîtrise piano, guitare, harmonica, flute et le très à la mode ukulélé. Sans oublié la poésie magique de ces textes... Pendant deux heures, Fersen se transforme en conteur drôle et décalé... On rit, on chante, on danse avec lui et on se laisse transporter par sa voix envoutante.

Pour ceux qui veulent en savoir plus sur Thomas Fersen :
http://www.thomasfersensiteofficiel.com/

13.1.10

Une bonne surprise au bout de la route !















En voyant la bande annonce du film "la route" on peut se dire : "encore un énième film d'action sur la fin du monde". Comme quoi les bandes-annonces peuvent être trompeuses...

Tout d'abord, parce que la route n'est pas ce qu'on peut appeler un "film d'action" (le rythme est plutôt lent, sans musique et sans effets spéciaux) et ensuite parce qu'on ne nous raconte pas vraiment comment le monde a explosé... L'histoire se passe 10 ans après la catastrophe et les Hommes doivent survivre dans un monde privé de végétation, d'électricité et d'animaux... Dans ce contexte, un homme et son fils de 10 ans errent à travers des paysages gris et désolés en essayant de trouver de quoi se nourrir et de quoi se protéger du froid... Le scénario se focalise sur la survie des personnages et on se pose de nombreuses questions : que ferais-je à leur place ? Aurais-je cette envie de rester en vie dans un monde sans nature et sans soleil ? Jusqu'où peut aller l'Homme pour survivre ? Et pour protéger ceux qu'il aime ?

En sortant de ce film on a qu'une envie : chérir la faune et la flore qui nous entourent afin de ne jamais avoir à vivre sans eux ;-)